«Кембриџь ауниверситет» аревизиақәа рыбжьара аиԥшымзаара

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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi. Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées
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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi.
 
Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées de lecteurs, montant au premier rang dans toutes les cérémonies, les vestales étaient, suivant l’antique loi de Numa, vénérées comme l’image vivante du foyer romain.
 
Honneurs, somme toute, assez stériles ! Mais voici que, dans les légendes qui se forment, quelques figures féminines apparaissent. Clélie l’Amazone qui tailla en pièces les troupes du tyran étrusque, traversa tout armée et à cheval le Tibre, et dont une statue équestre, visible encore au temps de Plutarque, honora le courage ;… les Sabines qui s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour amener la fusion des deux peuples, prélude de la grandeur de Rome ; Égérie, l’inspiratrice du sage Numa ; Valéria, Véturia et Volumnia, sœur, femme et mère du grand Coriolan qui, quand celui-ci, à la tête d’une armée volsque, assiégea son ingrate patrie, viennent, poussées par le souffle d’un dieu, au camp du rebelle, et dont les paroles pathétiques assurent à Rome la paix victorieuse que ses armes n’ont pu conquérir ; Fabia, épouse de Licinius Stolon, qui obtint, par ses larmes, l’accès des plébéiens au consulat : toutes celles-là, quittant leur rôle traditionnel
 
n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi.
 
Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées de lecteurs, montant au premier rang dans toutes les cérémonies, les vestales étaient, suivant l’antique loi de Numa, vénérées comme l’image vivante du foyer romain.
 
Honneurs, somme toute, assez stériles ! Mais voici que, dans les légendes qui se forment, quelques figures féminines apparaissent. Clélie l’Amazone qui tailla en pièces les troupes du tyran étrusque, traversa tout armée et à cheval le Tibre, et dont une statue équestre, visible encore au temps de Plutarque, honora le courage ;… les Sabines qui s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour amener la fusion des deux peuples, prélude de la grandeur de Rome ; Égérie, l’inspiratrice du sage Numa ; Valéria, Véturia et Volumnia, sœur, femme et mère du grand Coriolan qui, quand celui-ci, à la tête d’une armée volsque, assiégea son ingrate patrie, viennent, poussées par le souffle d’un dieu, au camp du rebelle, et dont les paroles pathétiques assurent à Rome la paix victorieuse que ses armes n’ont pu conquérir ; Fabia, épouse de Licinius Stolon, qui obtint, par ses larmes, l’accès des plébéiens au consulat : toutes celles-là, quittant leur rôle traditionnel
 
'''Кембриџь''' – Оксфорд анаҩс Британиа ду иҟоу зегь раасҭа ижәытәтәу аҩбатәи университетуп, адунеи аҿы аҧшьбатәи аҭыҧ аннакылоит, еиҳа иеицырдыруа ауниверситетқәа ируакуп. Ауниверситет аҧҵан 1209 шықәсазы, Кембриџь инхо оксфордтәи астудент ақалақь иаланхоз ҧҳәыск данишь ашьҭахь ақалақь иалҵыз аҵарауаа еидкыланы. Кембриџьтәи ауниверситет шьақәгылоуп 31 коллеџь рыла. Ақалақь аҿы инхо ауааҧсыра реиҳарак арҵаҩцәеи астудентцәеи роуп. Астудентцәа зегь аҵара анырҵо Кембриџь инхозароуп. Кембриџь амҩадуқәа рҿы иуҧылоит ииаҵәеиқәароу, мамзаргьы еиқәаҵәоу, амаҭәа зшәу аҿар маҷымкәа. Астудентцәеи аспирантцәеи рҵареи рыҭҵаарадырратәи усуреи ашколқәа (дара 6 ыҟоуп) рыҟны имҩаҧысуеит. Ашколқәа афакультетқәеи акафедрақәеи рыла ишьақәгылоуп. Кембриџьтәи ауниверситет аҟны арҵара мҩаҧысуеит 28 курс рыла. Арҭ акурсқәа ирыҵанакуеит абарҭ амаҭәарқәа: